22128

Le CatholicaPedia Blog

CatholicaPedia, une mémoire de la Tradition… en toute liberté

Quand Jésus demande pardon…les con(s)ciliaires et “tradis”-Ecclesia Dei n’en reviennent pas !

with 14 comments

 

Quand Jésus demande pardon
les con(s)ciliaires et “tradis”-Ecclesia Dei n’en reviennent pas !

 

Yves Daoudal, de son vrai nom Hervé Kerbourc’h, ou de plume Hervé Pennven… qui a participé au quotidien “catholique”-rallié-Conciliaire et nationaliste “Présent” jusqu’en décembre 1998, époque à laquelle il est devenu ensuite éditorialiste de l’hebdomadaire “National-Hebdo” (disparu en juillet 2008), était un fidèle de Jean-Marie Le Pen, avant de s’éloigner du Front national…

Yves Daoudal

Il a été rédacteur en chef de la revue catholique traditionaliste maurassienne “La Pensée Catholique” (1). Il est le rédacteur en chef de “Reconquête”, la revue du Centre Henri et André Charlier, dont il est vice-président, et de Chrétienté-Solidarité.

Qualifiant de géants les “papes” Jean-Paul II et Benoît XVI, il est en revanche très critique à l’égard de Paul VI. Il ne croit pas que le Pape soit forcément désigné par l’Esprit Saint et donc le meilleur possible mais plutôt comme l’affirmait le “Cardinal” Joseph Ratzinger en 1997 dans le périodique L’Avvenire :

« Probablement l’unique sécurité qu’il offre (l’Esprit Saint) est que la chose ne puisse être complètement ruinée. Il y a trop d’exemples de Papes que l’Esprit-Saint n’aurait évidemment pas choisis. » (2)

 

En parfait tradi-rallié, il s’offusque du blasphème du Clown Blanc, le 27 décembre, jour selon la néo-liturgie de la « fête de la Sainte Famille » : Commentant l’« escapade » de Jésus à 12 ans, il a « supposé » que, face au « reproche » de Marie, Jésus a fait « des excuses à ses parents », pour montrer que ce sont des moments qui « se transforment en opportunité de croissance, en occasion de demander pardon et de le recevoir ».

 

Encore un adepte de l’Autrement dit : Alors !allons’y fratresNous « reconnaissons » les papes post-Vatican II comme de vrais papes, mais nous leur « résistons » !… position “R&R”, organisé par Mgr Lefebvre et la Fraternité Saint-Pie X ; position de la néo-F$$PX de Bernie Fellay “R&R” (Reconnaître & Résister) qui les place tous dans « La Religion Marrane » de Vatican d’Eux qui est double – comme tout ce qui est marrane – et faite de tous (les “tradis”-Ecclesia Dei jusqu’à y compris la F$$PX).

Ndlr du CatholicaPedia : Nous avons coloré volontairement les majuscules blasphématoires que les auteurs utilisent dans leur langage néo-conciliaire-traditionnel

La position “ R & R ” est une Voie sans issue !

RIP Recognize & Resist (Reconnaître & Résister)

Le CatholicaPedia.net

 

 

 

Le Blog d'Yves Daoudal

J’avoue qu’il y a désormais assez longtemps que je n’ai pas lu un texte de François. Ma religion est faite, si j’ose dire, et je ne suis pas masochiste. Raison de plus pour ne rien voir de ce qu’il a pu dire autour de Noël. J’en étais resté à son dépôt de chaussures devant la divinité climatique le premier dimanche de l’Avent.

J’apprends par Benoît et moi que François est monté d’un cran, et d’un cran décisif, dans le blasphème, le 27 décembre, jour selon la néo-liturgie de la « fête de la Sainte Famille ». Commentant l’« escapade » de Jésus à 12 ans, il a « supposé » que, face au « reproche » de Marie, Jésus a fait « des excuses à ses parents », pour montrer que ce sont des moments qui « se transforment en opportunité de croissance, en occasion de demander pardon et de le recevoir ».

Danilo Quinto, relevant cette énormité, rappelle que François, le 20 décembre 2013, avait dit que Marie avait pu penser que l’archange Gabriel lui avait menti et l’avait trompée. En fait, François a récidivé sur ce point, et de façon spectaculaire, le 11 juillet dernier, au grand sanctuaire marial du Paraguay, quand, trois fois de suite, il a déclaré que Marie avait pu douter de ce que l’ange lui avait dit.

Puisque la Mère de Dieu peut réagir ainsi, il va de soi que le Christ lui-même est accessible, non seulement au doute, mais au péché (car on ne demande pas pardon si l’on n’a pas péché). Il faut oser, assurément, mais ce pape ose tout.

Le problème, évidemment, est que, s’il en est ainsi, le Christ n’est pas Dieu.

Danilo Quinto ne sait pas s’il doit éprouver de la compassion ou de la peur : compassion devant un pape qui ne sait pas ce qu’il dit, ou peur devant un pape qui sait très bien ce qu’il fait.

Pour ma part je n’éprouve, une fois encore, que du dégoût.

Francois est-il pape ?

 

* * *

 

Hérésie papale ?

ou formulations « malheureuses, vagues
ou qui prêtent à des malentendus » (card. Müller) ?
Retour sur l’homélie prononcée
lors de la fête de la sainte famille.
Danilo Quinto, sur le site
“Chiesa e post Concilio” (5/1/2016)

Dans la longue interview qu’il a accordée à Die Zeit (qu’Isabelle a traduite intégralement ICI), le cardinal Müller a rejeté les accusations d’hérésie que « certains secteurs catholiques adressent au Pape », se contentant de prendre acte de possibles formulations « malheureuses, vagues ou qui prêtent à des malentendus ». Évidemment, il pouvait difficilement en dire plus…

Et pourtant, de ces « formulations malheureuses », il y en a eu encore tout récemment, en particulier la stupéfiante homélie prononcée solennellement (donc pas de façon informelle, comme c’est le cas des homélies de Sainte-Marthe) par le pape le 27 décembre, dans la Basilique Saint-Pierre, en la Fête de la Sainte-Famille, dans laquelle François, commentant le célèbre passage évangélique de Jésus à 12 ans au Temple répondant aux questions des docteurs de la loi, prétendait que le Seigneur s’était excusé auprès de Marie et Joseph (une interprétation niant de fait sa divinité). J’en avais parlé ici (benoit-et-moi.fr/2015-II/benot-xvi/27-decembre-fete-de-la-sainte-famille), proposant en guise d’antidote les commentaires lumineux de Benoît XVI à ce même passage évangélique.

Sur le blogue Chiesa e post-concilio, Danilo Quinto revient sur cet épisode, qu’il considère d’une extrême gravité (épisode pourtant passé totalement sous silence presque partout, et notamment en France).

Qu’aurait dit le cardinal Müller, le gardien du Dogme, si on l’avait interpelé directement et explicitement sur l’exégèse papale ?

 

Entre hérésie et mauvais goût

 

Danilo Quinto.

chiesaepostconcilio.blogspot.fr

Ma traduction

 

* * *

 

Je voudrais ici revenir sur deux des dernières sorties verbales de Bergoglio. Je le fais avec douleur, et pour une seule raison : parce que je ne pense pas qu’on puisse rester silencieux. Et même, je pense qu’en restant silencieux, on commettrait un grave péché d’omission de la vérité. Les deux sorties sont : l’escapade de Jésus et les bouchers.

L’escapade de Jésus est l’expression utilisée par le pape le 27 Décembre, à Saint-Pierre, dans son homélie sur la Sainte Famille. Il a dit :

« (…) Joseph et Marie, pour la fête de la Pâque, se font pèlerins à Jérusalem avec Jésus (cf. Lc 2, 41-52) (…).

Au terme de ce pèlerinage, Jésus retourne à Nazareth et il était soumis à ses parents (cf. Lc 2, 51) (…). Nous savons ce que Jésus avait fait cette fois. Au lieu de revenir à la maison avec les siens, il s’était arrêté à Jérusalem dans le Temple, causant une grande peine à Marie et à Joseph qui ne le trouvaient plus. Pour cette “escapade”, Jésus a dû aussi probablement faire des excuses à ses parents. L’Évangile ne le dit pas, mais je crois que nous pouvons le supposer. La question de Marie, d’ailleurs, manifeste un certain reproche, rendant évidentes sa préoccupation et son angoisse ainsi que celles de Joseph. Revenant à la maison, Jésus s’est certainement soumis à eux pour montrer toute son affection et son obéissance. Ces moments qui, avec le Seigneur, se transforment en opportunité de croissance, en occasion de demander pardon et de le recevoir, de montrer de l’amour et de l’obéissance, font aussi partie du pèlerinage de la famille. »

Les mots clés de ce passage sont : escapade, excuse, reproche. Et puis, les expressions : demander pardon et le recevoir ; montrer de l’amour et de l’obéissance.

pardon

Il y a aussi une autre expression qui éclaire toute la question : « L’Évangile ne le dit pas, mais je crois que nous pouvons le supposer. »

Le Pape qui suppose que pour son escapade, Jésus a dû faire des excuses à ses parents.

Souvent, le Pape commente l’Évangile avec ses suppositions.

Le 20 Décembre 2013 [1], il l’a fait avec la Sainte Vierge. Commentant le moment de la Croix et le passage de l’Évangile de Luc (1, 26-38), il a dit de la Mère de Dieu :

« Elle s’est tue, mais dans son cœur, que de choses elle a dit au Seigneur ! “Toi, ce jour-là – lisons-nous – Tu m’as dit qu’Il serait grand ; Tu m’a dit que Tu lui donnerais le trône de David son père, et qu’Il régnerait pour toujours, et maintenant, je le vois ici”. La Sainte Vierge était humaine ! Et peut-être qu’elle avait envie de dire : “Mensonges ! J’ai été trompée !” ».

Aujourd’hui, la supposition concerne le Christ, qui présente ses excuses, puis demande pardon à ses parents, qui l’avaient réprimandé pour l’escapade.

De la part de la Vierge Marie, en réalité, il n’y a aucun reproche. Elle savait, depuis l’annonce de l’archange Gabriel, que Jésus était Dieu, mais cela ne signifiait pour Elle ni la connaissance de tous les sacrifices que Dieu allait lui demander, ni les modalités par lesquelles Jésus se manifesterait aux hommes. Elle devait le découvrir peu à peu, comme nous le raconte l’Évangile, à travers la vie de Jésus. La réponse donnée par Jésus à sa Mère — « Pourquoi me cherchiez-vous ? Ne saviez-vous pas que je dois m’occuper des choses de mon Père ? » — est l’un de ses plus grands enseignements et ce n’est pas un hasard si ce sont les premiers mots de lui que l’Évangile a recueillis. Il se réfère à sa filiation divine et déclare que par-dessus toute chose, il y a Sa volonté d’accomplir les desseins de son père. Jésus ne fait pas une escapade, mais nous enseigne qu’au-dessus de toute autorité humaine, même celle des parents, il existe un devoir primordial : faire la volonté de Dieu et, dans ce cas, prendre le temps nécessaire — trois jours ? trois jours — pour étudier les Saintes Écritures, pour s’occuper des choses de Son Père, poser des questions et répondre à des questions au sujet de Son Père.

Je ne peux nier qu’en lisant, à ce sujet, les paroles du Pape, moi — qui ne suis rien — j’ai éprouvé deux sentiments contradictoires : la compassion et la peur. Envers le Pape, Ce Pape.

François Ø

Un Clown Blanc déguisé en Pape !

ersonne qui ne va pas bien, dans le sens qu’elle ne raisonne pas bien, peut penser, ou supposer et faire supposer, si elle connaît l’Évangile et la Doctrine, que le Fils de Dieu peut présenter des excuses — le Pape suppose que Jésus, vrai Dieu et vrai homme, peut se tromper et donc pécher — et demander pardon. S’il en était ainsi, j’éprouverais de la compassion pour cette personne ; quelqu’un qui montre ne pas contrôler ses collaborateurs — qui ne révisent pas les textes qu’il lit, ou qui peut-être sont les auteurs de ces mêmes textes. L’autre sentiment, celui de la peur, provient de l’hypothèse que Bergoglio est parfaitement conscient de ce qu’il dit, et le dit sciemment.

Il n’existe, à mon avis, aucune alternative à ces hypothèses. Toutes deux, en fait, conduisent à la conclusion qu’une tentative très grave, dramatique, de manipulation de la vérité révélée est en cours, en gardant à l’esprit une unique question : on ne peut rien ajouter à cette Vérité, et encore moins spéculer sur elle. La manipulation, dans le cas qui nous occupe, se rapporte à la personne-Dogme : il est nécessaire de dé-diviniser Christ, pour en faire seulement un homme, capable de se tromper (de pécher) comme tous les hommes. Quand l’Église n’était pas conciliaire, on appelait cela une hérésie.

(L’Esprit Saint éclaire tout homme de bonne volonté !… lui manque plus que de comprendre l’Éclipse…)

Dans les temps de l’Église pas encore conciliaire, Padre Pio de Pietrelcina écrivit une lettre à son père spirituel (“Padre Pio da Pietralcina-Epistolario I”, Lettera N°123, Pietrelcina 7 aprile 1913, pp.350-352, ed « Padre Pio da Pietrelcina », 2002), dans laquelle il disait, entre autres choses :

« Cher Père, vendredi matin, j’étais encore au lit, quand Jésus m’apparut. Il était tout meurtri et défiguré. Il m’a montré une multitude de prêtres réguliers et séculiers, dont plusieurs dignitaires ecclésiastiques ; il y en avait qui célébraient, d’autres qui parlaient, d’autres qui ôtaient les vêtements sacrés. La visite de Jésus en détresse me procura beaucoup de douleur, et je voulais lui demander pourquoi il souffrait tant. Je n’eus aucune réponse. Cependant, son regard se posa sur les prêtres ; mais peu après, presque horrifié, et comme s’il était fatigué de regarder, il détourna ses yeux et quand il les leva à nouveau vers moi, avec une grande horreur, je remarquai deux larmes qui coulaient sur ses joues. Il s’éloigna de cette foule de prêtres avec une grande expression de dégoût sur son visage, en criant : “Bouchers !” ».

La Salette, les larmes de Notre-Dame(La Très Sainte Vierge, Elle, sur la sainte montage de La Salette avant de nous parler de l’Éclipse… a dit : « Les prêtres, ministres de mon Fils, les prêtres, par leur mauvaise vie, par leur irrévérence et leur impiété à célébrer les saints mystères, par l’amour de l’argent, l’amour de l’honneur et des plaisirs, les prêtres sont devenus des cloaques d’impureté. Oui, les prêtres demandent vengeance, et la vengeance est suspendue sur leurs têtes. Malheur aux prêtres, et aux personnes consacrées à Dieu, lesquelles, par leurs infidélités et leur mauvaise vie, crucifient de nouveau mon Fils ! Les péchés des personnes consacrées à Dieu crient vers le Ciel et appellent la vengeance, et voilà que la vengeance est à leurs portes, car il ne se trouve plus personne pour implorer miséricorde et pardon pour le peuple ; il n’y a plus d’âmes généreuses, il n’y a plus personne digne d’offrir la Victime sans tache à l’Éternel en faveur du monde. »)

 

Aujourd’hui, le Pape revendique le fait qu’enfant, il voulait être boucher. Il l’a dit, le 31 Décembre, avant le Te Deum, au cours de l’audience aux Pueri Cantores :

« Je vais vous faire rire, mais je vous dis la vérité. Petit, je voulais être boucher. J’allais au marché, plus souvent avec ma grand-mère qu’avec ma mère, faire les courses. À cette époque, il n’y avait pas de supermarché, ou la télévision. Et j’aimais bien le comptoir du boucher. Le marché était sur la rue et il y avait des endroits pour vendre la viande, les légumes, le poisson. Un jour, à la maison, à table, on m’a demandé : qu’est-ce que tu voudrais faire, quand tu seras grand ? Vous savez ce que j’ai répondu ? Boucher ! Parce que le boucher qui était sur le marché, prenait le couteau, découpait des morceaux, c’était un art, et cela me plaisait de le regarder. »

Jésus, dans l’apparition à Padre Pio, utilise le mot boucher dans un sens péjoratif. Le Pape le revendique pour lui-même, pour nous faire rire …

AFP : Quand j'était petit...

 

* * *

 


NDT :

(1) Homélie à Sainte Marthe.

Curieusement (à moins, ce qui est le plus probable, qu’il ne s’agisse de prudente censure, voire d’embarras), le site du Vatican en donne une version totalement expurgée — de surcroît invoquant à dessein le saint Pape Jean-Paul II, qui aurait fait de même !!

Le Pape a ensuite donné voix « au silence de la Vierge au pied de la croix », à ce qui lui passait à l’esprit comme l’avait également fait — a-t-il rappelé — Jean-Paul II.

Très longue interview du card. Muller à Die Zeit

 

“Benoit-et-moi”, tous droits réservés :

http://benoit-et-moi.fr/2016/actualite/heresie-papale.html

 

taupe chef pape-cuisinier

 

 

*
*     *

 

Le blasphème proféré commence à la minute 37:20

 

François Ø flagelle le Christ

 

Alors, vous tous, les non-sédévacantistes et R&R, que vous faut-il de plus ?…

C’est comme si François se réveillait tous les matins en se demandant : « Que puis-je faire aujourd’hui pour convaincre les gens que je ne suis pas le Pape ?! »

Comme quelqu’un l’a une fois dit, “il est beaucoup plus facile de tromper les gens que de les convaincre qu’ils ont été trompés”.

François Ø est un apostat et un blasphémateur. Une chose qu’il n’est pas… c’est « Pape de l’Église catholique » !!!

 

 


[1] Les quatre fondateurs de La Pensée Catholique, nés au tournant des 19è-20è siècles, Lucien Lefèvre (1895-1987), Henri Lusseau (1896-1973), Victor Berto (1900-1968) et Alphonse Roul (1901-1969) sont issus du Grand Ouest français (Loire-Atlantique, Vendée, Morbihan et Seine-Inférieure). Leurs origines sociales diffèrent (le père de l’abbé Lefèvre est professeur de Lycée, le père de l’abbé Berto est officier colonial), leur formation antérieure diverge (seul l’abbé Berto est diplômé de l’Université). Enfin, l’abbé Lefèvre a fait la Première Guerre mondiale. Le creuset du Séminaire Français de Rome va cependant les unir religieusement. Ils s’y rencontrent tous les quatre et y conquièrent leurs grades : l’abbé Lefèvre, docteur en théologie, bachelier en droit canonique, y a été élève de 1919 à 1925 ; l’abbé Roul, docteur en philosophie et en théologie, de 1919 à 1926 ; l’abbé Berto, docteur en théologie et de l’Académie Saint-Thomas, de 1921 à 1926 ; le chanoine Lusseau, docteur en théologie, en Écriture sainte et de l’Académie Saint-Thomas, de 1918 à 1924. Cette commune formation les marque pour toujours.

Ils sont en effet formés sous l’égide du P. Henri Le Floch c.s.s.p. (1862-1950), nommé en 1904 recteur de cette institution pontificale fondée en 1853, fort estimée des papes… (cf. “Les hommes de la Pensée catholique” de Paul Airiau)

[2] « Probabilmente l’unica sicurezza che egli offre è che la cosa non possa essere totalmente rovinata. Ci sono troppi esempi di Papi che evidentemente lo Spirito Santo non avrebbe scelto » Blogue d’Yves Daoudal, 16 mars 2013.