22468

Le CatholicaPedia Blog

CatholicaPedia, une mémoire de la Tradition… en toute liberté

La bataille continue… VRAI OU FAUX PAPE ?

with 42 comments

 

La Bataille a Commencé

Vrai ou Faux Pape ?

Au sujet de cette prétendue “réponse irrationnelle”
des sédévacantistes

 

par Novus Ordo Watch

 

Vrai ou Faux Pape ? modifié

D’accord, nous avons quelque peu modifié la couverture…
Mais c’est à seule fin de rappeler aux gens quel est
l’homme qui, selon les auteurs, empêche les portes de
l’enfer de prévaloir contre la secte moderniste…

 

L’année 2016 de Notre Seigneur promet d’être emplie de feux d’artifice. En prévision de la sortie officielle de l’ouvrage intitulé « Vrai ou faux Pape ? » — 700 pages d’arguments contre le sédévacantisme écrites par John Salza et Robert Siscoe et publiées par la Fraternité Saint-Pie X —, les auteurs ont ouvert sur leur site Internet une section « Sedevacantist Watch » (surveillance du sédévacantisme). Dans cette section, ils ont posté leur premier article intitulé « The Sedevacantist’s [sic] Irrational Response to the Book, True or False Pope? » (la réponse irrationnelle des sédévacantistes au livre « Vrai ou Faux Pape ? »), qui représente environ trois pages et demie au format PDF. Nous ne voudrions pas que les choses dégénèrent en une guerre de blogues sur divers points de détail, mais nous tenons cependant à répliquer à ce premier article et à ce qu’il affirme là :

« “True or False Pope” de John Salza et Robert Siscoe n’est pas encore en vente que les sédévacantistes se précipitent déjà. Ils ont créé des sites Internet et produit au moins trois vidéos jusqu’à présent pour contrer un livre qu’aucun d’eux n’a lu. Pourquoi cet ouvrage-là suscite-t-il une réaction aussi vive, telle qu’on n’en avait pas vu d’aussi irrationnelle ces derniers temps ? Et pourquoi n’a-t-on presque rien entendu de la part des mêmes individus lors de la publication, il y a quelques mois, d’un autre ouvrage contre les erreurs du sédévacantisme ? »

 

Tout d’abord, nous ne nous « précipitons » pas. Nous nous bornons à préparer prudemment la vague de fond des discussions qu’il sera aussi normal qu’obligatoire de notre part de déclencher en réaction à l’ouvrage attendu. Ensuite, l’article posté par nos contradicteurs avait manifestement pour but de susciter notre réponse, et c’est à cela que nous nous astreignons dans le présent message.

Quant à la création alléguée de sites Internet, à quels sites est-il fait allusion ? Nous n’en avons créé aucun. Nous avons simplement acquis un nom de domaine – trueorfalsepopes.com – et nous l’avons intégré dans notre section créée pour traiter du livre en question, de même que pour défendre le sédévacantisme en général. Nous n’avons entendu parler de la création d’aucun site Internet par quiconque. Messieurs Siscoe et Salza seraient-ils assez aimables pour fournir des précisions à ce sujet ? En outre, Novus Ordo Watch n’a produit qu’une seule vidéo, qui démontre que selon les enseignements catholiques, il n’est pas possible de croire que François est un Pape valide tout en adhérant à ce que l’Église enseigne sur la papauté. Nous avons connaissance d’une seule autre vidéo, qui a été produite par un prêtre catholique en prévision de la sortie du livre et qui traite de la question générale de savoir pourquoi tant de gens semblent avoir une peur irrationnelle du sédévacantisme.

 John Salza  Robert Siscoe
John Salza Robert Siscoe

 

Apparemment, Salza et Siscoe voient tout cela comme une « réaction irrationnelle » à leur livre. Or, non seulement, cela n’a rien d’irrationnel, mais il ne s’agit même pas d’une réaction à leur ouvrage ; ce n’est qu’une sorte de commentaire et d’argumentation préalable, car c’est là tout ce que nous pouvons faire avant d’avoir vraiment lu le livre. Ce n’est pas difficile à comprendre, mais peut-être Messieurs Salza et Siscoe ont-ils envie de montrer de l’irrationalité là où il n’y en a pas.

Pourquoi, dans ces conditions, n’a-t-on « presque rien entendu » de nous récemment, lors de la publication d’un « un autre ouvrage » attaquant le sédévacantisme ? Tout bonnement parce que nous n’avons appris son existence qu’aujourd’hui, par la grâce de Siscoe & Salza. Après quelques recherches en ligne, nous pensons que le livre en question est sans doute « The Sedevacantist Delusion: Why Vatican II’s Clash with Sedevacantism Supports Eastern Orthodoxy » (l’illusion sédévacantiste : pourquoi le conflit entre Vatican II et les sédévacantistes renforce l’orthodoxie orientale ») par John Pontrello, publié en août 2015. Or, répétons-le, nous n’avons appris l’existence de cet ouvrage qu’aujourd’hui, 5 janvier 2016. Ledit ouvrage défend la position orthodoxe orientale, qui est schismatique et hérétique, de sorte qu’il ne s’agit pas d’un livre catholique, même selon les normes du Novus Ordo et de la position R&R « reconnaître-tout-en-résistant ». Mais selon toute évidence, Messieurs Salza et Siscoe essaient d’insinuer que nous avons gardé exprès le silence sur ce livre, alors que nous en ignorions tout simplement l’existence. (Du reste, nous ne sommes guère connaisseurs de la littérature favorable à l’orthodoxie orientale. L’êtes-vous, cher lecteur ?)

Ce qui est fort intéressant, c’est de lire sur le site Internet de John Salza une hérésie manifeste en faveur de l’orthodoxie orientale : « Les Catholiques doivent croire que l’Orthodoxie fait partie de l’Église universelle (ce qui est conforme au deuxième Concile du Vatican et à maintes encycliques papales récentes sur l’œcuménisme en général ou l’Orthodoxie en particulier) ». Cette assertion est due à la plume de Dave Armstrong, un apologiste du Novus Ordo, mais elle figure sur le site Internet de John Salza dans le cadre d’un article intitulé « Catholicism and Orthodoxy: A Comparison » (comparaison entre le Catholicisme et l’Orthodoxie).

Voici une capture d’écran de ce passage, qui se trouve sur le site http://www.scripturecatholic.com/orthodoxy.html (voir, à la fin, la phrase placée entre deux parenthèses rouges) :

 salza-armstrong-orthodoxy

Monsieur Salza, que fait cette hérésie sur votre site Internet ?

Mais poursuivons l’examen du petit article sur la « réaction irrationnelle » des sédévacantistes :

« Dans son journal personnel, le Père Joseph Clifford Fenton parlait d’un livre qu’il avait l’intention d’écrire après la clôture du deuxième Concile du Vatican (l’entrée en question fut rédigée durant le Concile). Il disait devoir s’astreindre à le faire avec la plus extrême précaution, car – précisait-il – tout livre important s’attire à coup sûr des attaques publiques. Au vu de cette précision, les attaques irrationnelles portées contre « True or False Pope ? » constituent en réalité un signe encourageant. Ces sédévacantistes savent que leur position sera dorénavant examinée sous un microscope particulièrement grossissant. »

 

Mgr. Joseph Clifford Fenton (1906-1969)Tout d’abord, ceux qui ont écrit cela auraient dû avoir la dignité d’attribuer à l’auteur son titre véritable. Il s’agit en effet de Monseigneur — et non pas seulement du « Père » — Joseph Clifford Fenton. Nous avons annoncé que son journal pourrait être consulté le 17 août sur ce blogue. Peut-être notre duo anti-sédévacantiste (Salza & Siscoe) cherche-t-il à se servir de la personnalité éminente ou de la popularité de Mgr Fenton, auquel cas nous saisissons cette occasion pour attirer l’attention des lecteurs sur la rubrique suivante de notre blogue : « Mgr. Fenton on the Failure of Vatican II – What John Vennari didn’t tell you » (Mgr Fenton sur l’échec de Vatican II – Ce que John Vennari ne vous a pas dit).

 

STAS ÉditionsEnsuite, Salza et Siscoe essayent ici de nous enfermer dans un cercle vicieux rhétorique. Si nous ne nous opposons pas à leur livre, ils diront que nous n’avons aucun argument pour y répliquer et que nous préférons donc feindre de l’ignorer ; si nous y répliquons, ils diront que c’est bon signe dans la mesure où seuls sont attaqués les ouvrages importants. Voici, par conséquent, ce qu’il en sera : de toute évidence, un livre de 700 pages dirigé contre le sédévacantisme, publié et promu par la Fraternité Saint-Pie X, va être « attaqué » par nous, si l’on veut absolument employer ce terme. Ce qui sera le signe : 1. que nous y avons prêté attention ; 2. que nous reconnaissons la grande influence de la FSSPX ; 3. que nous savons que cet ouvrage expose les âmes à un danger. Ils peuvent bien y voir un signe encourageant autant que cela leur chante. Nous sommes évidemment disposés à admettre que leur livre est important, non par lui-même (puisque nous ne l’avons pas lu), mais par l’impression qu’il a déjà produite et qu’il produira encore sans doute sur ses lecteurs. En effet, il est publié et recommandé par la F$$PX, il exhibe en couverture le nom prestigieux de John Salza, il bénéficiera assurément d’une vaste publicité dans d’innombrables publications en ligne et hors ligne, etc. Nul ne saurait contester ces faits. Et alors ? En outre, nous savons – c’est vrai – que notre position sera scrutée comme jamais. Cela va de soi, car nous osons espérer que 700 pages auront suffi aux deux hommes pour étudier le sédévacantisme en profondeur. Cela non plus ne saurait être nié.

Salza avec Mgr Fellay en 2011

 

« Au terme de plusieurs entrevues avec les auteurs du livre, promptement diffusées sur la Toile, l’abbé Anthony Cekada, prêtre sédévacantiste de Cincinnati-Nord, a publié — en vue de limiter les dégâts — une vidéo dans laquelle il s’efforce de convaincre son public que la seule raison pour laquelle quiconque n’adhère pas au sédévacantisme tient à la “peur”, car selon lui, le sédévacantisme est tout simplement la réponse logique à la crise actuelle. Bien entendu, ce sont l’abbé Cekada et ceux dont, comme lui, la subsistance et la réputation sont liées à la survie du sédévacantisme qui éprouvent une “peur” bien réelle, car ce sont eux qui auraient le plus à perdre d’un naufrage du vaisseau sédévacantiste. »

 

Il ne fait aucun doute que d’innombrables clercs sédévacantistes tremblent actuellement de tous leurs membres dans la crainte qu’une fois que ce pavé de 700 pages aura atterri sur les étagères des librairies, les rangées de leurs chapelles ne commencent à se vider une par une à mesure que leurs ouailles se réfugieront auprès de l’apostat Jorge Bergoglio, perçu dès lors par elles comme étant le seul homme sur terre possédant le « charisme de vérité et de foi à jamais indéfectible […] accordé par Dieu à Pierre et à ses successeurs en cette chaire, afin qu’ils remplissent leur haute charge pour le salut de tous, afin que le troupeau universel du Christ, écarté des nourritures empoisonnées de l’erreur, soit nourri de l’aliment de la doctrine céleste. » (Vatican I, Constitution dogmatique Pastor Aeternus, chapitre 4). Si vous croyez que cela s’applique à François, on peut vous faire gober n’importe quel bobard. Pas vrai, Jorge ?

“Pape” François :
« Call Me Jorge »

Jorge Bergoglio

Prétendre que la vidéo de l’abbé Cekada était destinée à « limiter les dégâts » relève d’une pure spéculation, voire d’un jugement hâtif. Une vidéo comme celle-ci, traitant de cette peur irrationnelle du sédévacantisme qui existe assurément, aurait dû être réalisée depuis longtemps. Notre duo sédévacantiste soutient que l’abbé Cekada « s’efforce de convaincre son public que la seule raison pour laquelle quiconque n’adhère pas au sédévacantisme tient à la “peur” ». Ah oui ? Peut-être que quelque chose nous a échappé, mais nous n’avons pas souvenir que l’abbé Cekada ait prétendu que telle était la seule raison. Bien sûr, cette raison est réelle, et c’est elle qui est examinée dans la vidéo en question. Les publications de l’abbé Cekada sont presque toujours axées sur les erreurs théologiques qui sont à la base d’un rejet du sédévacantisme ; il est donc injuste de l’accuser de n’en faire qu’une question de peur.

Quant au problème de « subsistance » mentionné par le duo, nos lecteurs peuvent être assurés qu’aucun membre de Novus Ordo Watch ne doit le moins du monde sa subsistance au sédévacantisme. Si l’on veut dire par là que tel est le cas de certains clercs, admettons ; mais il est gratuit et insultant pour le saint sacerdoce de le réduire ainsi à des considérations purement profanes. En outre, l’argument est à double tranchant, car tout prêtre dont le sacerdoce dépend de tel ou tel parti théologique doit sa « subsistance » à ce parti. S’il s’agissait simplement de subsistance, des hommes tels que l’abbé Michael Oswalt et le Père Bernard Uttley, OSB (entre autres) auraient toutes les raisons du monde de ne pas devenir ou rester sédévacantistes, car il est beaucoup plus facile de mener une vie confortable comme clerc de la secte conciliaire que comme sédévacantiste errant en dehors de toute paroisse et de tout diocèse.

Abbé Anthony CekadaSalza et Siscoe publient ensuite certaines réactions à la vidéo de l’abbé Cekada qui ont été postées sur un forum. Le premier commentateur cité admet d’emblée qu’il n’a « pas vu la vidéo [de vingt minutes] », ce qui ne l’empêche pas de la critiquer. Il est cocasse que notre duo anti-sédévac mette ce commentaire en exergue, car ils commencent leur article en nous reprochant d’avoir formulé des remarques initiales sur un livre de 700 pages que nous n’avons pas lu. De quoi s’agit-il ? Le commentateur cité accuse l’abbé Cekada de prétendre que c’est seulement la peur qui amène des gens à rejeter la position sédévacantiste. Or, Cekada n’a jamais rien dit ou écrit de tel, et nous non plus. Il en est évidemment qui rejettent le sédévacantisme par peur, mais c’est loin d’être le cas de tous, et il est clair que l’intéressé n’en fait pas partie. Mais alors ? Cela signifie-t-il qu’on n’a pas le droit d’examiner le fait – car c’en est un – qu’il existe une véritable « sédévacantophobie » ?

De même, le deuxième commentateur cité prétend n’avoir pas peur du sédévacantisme. C’est fort bien : la vidéo ne le concerne donc en aucun cas, cela va de soi. Mais alors, que faire ? Va-t-il falloir sonder les profondeurs de l’Internet pour déterminer combien de personnes semblent avoir peur du sédévacantisme et combien ne le craignent pas ? Quel serait l’intérêt d’un tel exercice ? On trouverait à l’évidence des gens qui rejettent le sédévacantisme pour différentes raisons : la peur, l’orgueil, l’ignorance, un malentendu, etc. Nous autres à Novus Ordo Watch, nous avons fourni une ample argumentation quant à la substance – et non au motif – de cette matière ; il est donc assez hypocrite d’agir comme si nous essayions de ramener tout cela à une question de peur.

Le troisième commentateur cité formule diverses remarques subjectives n’appelant pas vraiment de réaction de notre part, faute de comporter la mention du moindre fait.

En définitive, Salza et Siscoe concluent triomphalement de ces trois commentaires que la vidéo de l’abbé Cekada « n’a pas produit l’effet recherché ». Brillante observation. Salza et Siscoe décident donc avec une autorité tout empirique que la vidéo de l’abbé a manqué sa cible. Quod erat demonstrandum. Cher lecteur, pourquoi ne pas simplement regarder la vidéo et juger par vous-même ? La voici :

 

Pourquoi les Traditionalistes ont-ils peur du Sédévacantisme ?

(Vous pouvez régler les « sous-titres » en traduction automatique par Google… cliquez sur « sous-titre », ensuite sur « paramètres » [la roue dentée] et mettre « traduction automatique en « français »…)

On trouvera ici notre commentaire sur la vidéo et la question de la sédévacantophobie.

Le duo anti-sédévac pose ensuite la question suivante : « Peut-on tenir sa position pour assurée quand on n’a perçu qu’un côté des choses ? » Là encore, on est dans une hypothèse gratuite : les sédévacantistes n’auraient perçu qu’un côté des choses. Oh, vraiment ? Les deux hommes connaissent-il quelqu’un ayant été élevé dans le sédévacantisme ? Les sédévacantistes ne sont-ils pas tous des convertis ayant examiné les diverses possibilités en présence avant de parvenir à la conclusion qui est maintenant la leur ? En quoi est fondée cette hypothèse téméraire selon laquelle nous n’aurions perçu qu’un côté des choses ? Allez dans n’importe quelle chapelle sédévacantiste, et demandez à des fidèles pris au hasard comment ils en sont venus à adopter la tournure d’esprit sédévacantiste. Vous aurez toutes les chances d’obtenir des réponses commençant par : « Eh bien, j’étais conciliaire jusqu’à ce que… », ou encore : « Nous allions à la Fraternité Saint-Pie X, mais… ». L’idée sous-jacente selon laquelle les sédévacantistes n’ont perçu qu’un côté des choses est dénuée de toute pertinence et contraire à la réalité dans la plupart des cas.

Plus loin, les auteurs affirment avec arrogance : « … s’il est une vertu qui fait manifestement défaut aux apologistes du sédévacantisme, c’est bien l’humilité ». Mais bien sûr ! N’est-ce pas là notre problème à tous ? Donc, en résumé, voyons si nous parvenons à préciser les choses. Salza et Siscoe se plaignent dans leur article d’une vidéo critiquant une motivation cachée (la peur) qui empêche certaines personnes d’examiner dans un esprit ouvert et honnête la question du sédévacantisme. Dans le cadre de leurs critiques, premièrement, ils formulent diverses hypothèses gratuites ; deuxièmement, ils se servent — pour prouver que la vidéo « n’a pas produit l’effet recherché » — des propos de quelqu’un qui admet ne pas l’avoir regardée, ainsi que des commentaires de deux autres personnes non concernées par elle ; troisièmement, ils finissent par accuser l’abbé Cekada d’être animé d’une motivation cachée en n’adhérant ou en ne réagissant pas aux arguments d’un livre qu’ils n’ont pas encore publié. Tout cela est-il bien sérieux ?

 

Laurel & Hardy

Feriez-vous confiance à ces deux là pour votre âme sur le Vrai ou Faux Pape...
...les Siscoe & Salza de l'anti-sédévacantisme !

 

Si c’est ce genre d’argument que nous lirons dans « True or False Pope ? » une fois le livre publié, nous aurons confirmation de ce à quoi nous nous attendons. Une chose du moins semble bien claire : le temps des politesses est fini.

 

 

sedes vacans 1958

 

 

***

 

 

Source : Novus Ordo Watch : http://www.novusordowatch.org/wire/tofp-irrational-response.htm

Traduction : le CatholicaPedia.net

(Que notre traducteur soit encore une fois et toujours remercié pour son travail professionnel)

 

…à suivre (avec le commentaire sur la vidéo et la question de la sédévacantophobie)