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« Heureux ceux qui n’ont pas vu et qui ont cru. »
car il n’est pas besoin de voir pour croire : il faut croire pour voir !

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Nos confrères de Radio Cristiandad ont publié hier samedi un très bon article sur la farce sinistre qui s’est joué aujourd’hui à Rome avec les quatre frangins Dalton de la secte conciliaires réunis sur le même dessin ci-dessous !!… On a cru rêver toute la journée en lisant les articles consacrés à l’« événement » d’aujourd’hui… et en regardant les émissions qui lui étaient consacrées : le monde est complètement fou.

Nous avons actualisé l’article en vous le présentant “au présent/passé” puisque l’« événement » a eu lieu d’aujourd’hui…

Les quatre frères Dalton conciliaires, deux déjà froids et deux encore tièdes...

(En ce dimanche triomphal et romain des quatre frères Dalton conciliaires,
deux déjà froids et deux encore tièdes)

 

 

Croire Pour Voir

Par Jorge Doré

(traduit de l’espagnol)

 

 

 

Ce dimanche 27 avril fut une journée d’exultation pour la fausse chrétienté mondiale, car en ce jour, le faux pape de la fausse Église catholique, lors d’une fausse messe, a accomplie l’acte parodique consistant à « canoniser » deux faux papes ennemis et insulteurs du Christ-Roi et de Son Église.

En effet, au cas où vous ne l’auriez pas remarqué, plus nous entrons dans les temps de la fin – à la manière d’un levain étouffé –, plus la fausseté se généralise. Il n’est rien de plus faux que le langage politiquement correct, la dignité de l’homme et les droits de l’homme sans Dieu. La fausseté est partout : dans la paternité ou maternité des paires de même sexe (c’est-à-dire stériles) qui adoptent des enfants ; dans le choix par chacun de son « genre » (terme lui-même faux en l’espèce), qui ne tient pas compte du sexe que Dieu lui a attribué ; dans l’avortement érigé en solution juste et en droit inaliénable ; dans l’euthanasie perçue en tant qu’acte de compassion ; dans la justification de la pédophilie comme goût personnel, etc. En résumé, et pour conclure sur une réflexion empruntée à la sagesse biblique, la fausseté du mal considéré comme un bien et du bien considéré comme un mal est une donnée omniprésente.

Mais pour en revenir aux « canonisations », une invraisemblable profusion de médailles, d’images, de reliques, de statuettes, de prières, etc., fabriquées pour solliciter l’intercession des deux antichrists élevés aux sulfureux autels, ont été [et vont encore être] achetées, possédées et admirées par tous les dévots en état de catatonie appelés à vénérer ces deux saints bâtards qui contribuèrent à casser l’Église en deux groupes très faciles à distinguer l’un de l’autre : d’un côté, la résistance à l’apostasie ; de l’autre, l’apostasie éhontée, bien visible même en l’absence de loupe théologique. Car tout cela empeste la myopie volontaire !

Ce triomphe du mal va contribuer à fermer davantage encore les yeux de quiconque persiste à douter du mal satanique régnant à Rome. Cette cérémonie, réplique de ce que serait l’offre à Dieu du fumet d’agneaux malades, contrefaits ou aux membres fracturés, ou encore de fruits pourris, fut un acte diabolique accompli en public et sans déguisement, sous le patronage de la grande prostituée apocalyptique [Ma Dalton ???], autrement dit la Rome babylonienne, et avec l’argent de contribuables aveugles pour les uns, apostats pour les autres. Bien entendu, les applaudissements du monde et une couverture médiatique gigantesque lui ont été d’ores et déjà garantis.

 

Les portraits des deux antichrists élevés aux autels lucifériens ont offert deux veaux de fer blanc (et non d’or) à l’adoration d’un monde qui ne distingue plus ce qui est en toc de ce qui est précieux. L’ampleur de l’événement et la participation à ce dernier d’une foule innombrable nous ont fourni des informations précises sur l’état d’avancement du programme que le mal réalise ici-bas, comme sur le tribut d’obéissance obtenu par ce dernier de ceux qui ont perdu depuis longtemps la capacité de distinguer le Christ de Bélial et que, sans la moindre pitié, des hiérarques conduisent par la main vers l’enfer. Or, on ne peut tenir à la fois la main du Christ et celle de ces apostats : il faut choisir.

Deux, des quatre frères Dalton conciliaires, encore tièdes...

« Deux hommes marchent-ils ensemble, sans qu’ils se soient accordés ? » (Amos, 3 : 3)

 

La langue bifide du serpent qui est l’immémorial ennemi des hommes – symbolisée par Ratzinger et Bergoglio, les deux vicaires de Lucifer sur terre – a parlé pour annoncer au monde que le démon a maintenant ses saints. Une moitié de langue les a béatifiés, l’autre les canonise. L’une et l’autre s’expriment à contretemps, mais toutes deux s’agitent dans la même gueule et servent le même corps couvert d’écailles.

Cet événement aux caractéristiques purement apocalyptiques se révèle à nous autres, qui avons conscience de la gravité de ce que nous vivons là, comme étant conforme à la terrible question posée par la Christ :

« Seulement, quand le Fils de l’homme viendra, trouvera-t-il la foi sur terre ? » (Luc, 18 : 8 )

 

Rappelons-nous aussi cet autre verset :

 

« Et si ces jours n’étaient abrégés, nul n’échapperait ;
mais à cause des élus, ces jours seront abrégés. » (Matthieu, 24 : 22)

 

Autre donnée symptomatique, et dont la nouvelle s’est sûrement répandue telle une traînée de poudre parmi tous ceux qui, comme nous (et selon l’ordre donné par Jésus), restent attentifs aux signes des temps et ne se laissent pas crétiniser par des illusions restauratrices dignes de la science fiction : en Italie, un Christ dédié à Jean-Paul II et pesant 600 kilos a fait une chute retentissante, causant la mort d’un jeune homme et blessant une autre personne. Cet accident est manifestement associé à la monstrueuse prétention de canoniser deux individus ayant eu coutume d’outrager le Christ. Comme pour ajouter à cette « coïncidence », la famille de la pauvre victime habite rue Jean XIII. (voir ici) (et ici en français sur le CatholicaPedia Blog)

Une véritable cochonnerie que seuls pouvaient louer des esprits atteints d’« aggiornamento »

Cette tragédie s’est produite trois jours avant l’abominable événement.

Une statue du Christ de 30m de haut s'est effondrée à Brescia, en Italie, le 24 avril 2014

La sculpture en question – il faut le préciser – était une véritable cochonnerie que seuls pouvaient louer des esprits atteints d’« aggiornamento », car elle ressemblait davantage à un plésiosaure régurgitant un Christ qu’à une œuvre digne de Le glorifier. Mais cet art immonde et satanique est précisément celui qui reflète et réjouit tant la Rome apostate que ses victimes. Voilà quel genre d’artiste tordu recherchent ces gens. Et tant que les gogos persisteront à le célébrer, cet art répugnant continuera de faire florès sans que l’on voie qu’il jaillit non pas de la noblesse du cœur croyant, mais bien plutôt de la perversité labyrinthique de l’homme déchu et de son flirt impudent avec le diable, outre qu’il est infesté de symbolique ésotérique invisible à des yeux profanes.

plesiosaurio

Bien entendu, ceux qui dédaignent ce message du Christ tombé au sol ne comprennent pas non plus pourquoi Jean-Paul II est né et décédé un jour d’éclipse du soleil, pas plus qu’ils ne saisissent la signification du tremblement de terre catastrophique qui démolit une grande partie de la basilique Saint-François d’Assise, en Italie, où ce même apostat avait convoqué les fausses religions du monde pour se livrer à son outrage œcuménique contre Dieu, allant même jusqu’à encenser un Bouddha posé sur le maître-autel.

Ceux qui ignorent ces messages du ciel (y compris l’éclair adressé à Ratzinger) sont dépeints dans le message qu’Abraham adresse au riche le priant d’envoyer le pauvre Lazare à sa parentèle pour que celle-ci soit informée de son sort et évite ainsi de tomber dans les mêmes terribles tourments que lui ; la réponse d’Abraham ne saurait être plus actuelle :

 

« S’ils n’écoutent pas Moïse et les Prophètes,

quelqu’un des morts ressusciterait, qu’ils ne le croiraient pas » (Luc, 16 : 31)

 

En voyant tant de mensonges encensés, ceux d’entre nous occupés à observer les doigts du mal en train de tisser cette infecte tapisserie qui recouvre et obscurcit le monde entier, pleine de nœuds et de fils cassés, ne peuvent que prier Dieu de bien vouloir abréger l’attente de Sa venue et sauver Son petit reste.

 

Ceux qui ne croient pas les avertissements du Ciel ne peuvent croire au Ciel.

Le Ciel nous a donné aujourd’hui un nouvel avertissement fatidique. Beaucoup n’y croiront pas. Mais il n’est pas besoin de voir pour croire : il faut croire pour voir !

 

 


 

Source Radio Cristiandad : http://radiocristiandad.wordpress.com/2014/04/26/jorge-dore-creer-para-ver/

Traduction : le CatholicaPedia.net

(Que notre traducteur soit encore une fois et toujours remercié pour son travail professionnel)

 St. McPeter's