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Désinformation : « La photo qui fait taire le monde »

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Nous ne parlons pas, sauf cas exceptionnel, de politique sur le CatholicaPedia

…mais devant le déferlement médiatique de la mort du petit “Syrian Boy” et alors que la pseudo Conférence des “évêques” de France s’est fendu d’un communiqué ce matin (déjà censuré en ligne !!!), la Vérité exige de démontrer la Manipulation !

 

TURKMI ; Syrian Boy

 

Aylan : le père de l’enfant noyé ne fuyait pas la guerre… il voulait se refaire les dents en Europe…

 

Hildegard von Hessen am Rhein écrit :

Alors que les médias continuent leurs enfumages et pleurnicheries,  le journal Valeurs Actuelles a débusqué une information stupéfiante sur la famille de ce petit garçon noyé. C’est le Wall Street Journal qui rapporte que la famille vit en Turquie et qu’elle voulait aller en Europe se faire soigner les dents. Le petit garçon et son frère son mort, à cause d’une visite audacieuse chez le dentiste. J’avais donc à nouveau raison, lorsque je me posais des questions sur le père qui rentrait à Kobané pour enterrer les siens. Les bras vous en tombent, face à l’hystérie médiatique mondiale.  C’est la “faschosphère” qui fait éclater le scandale de la désinformation ! Décidément la gauche est le mal absolu. Le Monde a bonne mine aujourd’hui avec ses insultes récurrentes contre ceux qui ne sont pas d’accord avec sa ligne éditoriale. Voilà une raison de plus de ne plus lire ce journal si prestigieux qui s’est transformé en torchon militant.

Mon conseil, pensez par vous même, renseignez vous, recoupez les informations, ne vous laissez pas manipuler, intimider, ils sont là pour vous faire crever par le plus grand ethnocide jamais vu dans l’histoire de l’Europe et du monde. Il est temps de passer à l’action. Comment, c’est la grande question.

Hildegard von Hessen am Rhein

 

Bravo pour le travail d’Yves de Kerdrel, ça va défriser LE MONDE et ses leçons de morale !

L’ÉDito d’Yves de Kerdrel du jour !

Le choc d’une photo (suite). L’Europe n’en finit pas de pleurer devant le corps sans vie du petit Aylan retrouvé sur une plage turque. L’émotion soulevée par cette photo semble empêcher tous les dirigeants européens de réfléchir et de raisonner. Qu’en sera-t-il lorsqu’ils liront les informations dévoilées cette après-midi par le Wall Street Journal selon lesquelles la famille de cet enfant ne fuyait pas la Syrie, mais vivait depuis trois ans en Turquie ? Qu’en sera-t-il lorsqu’ils apprendront que la tante d’Aylan, vivant au Canada, avait financé ce voyage en Europe pour que son frère se fasse refaire les dents ? Et c’est uniquement pour cela qu’Aylan est mort, lors d’une traversée entre Bodrum et Kos. Cela ne diminue pas l’ampleur de ce drame. Mais cela devrait nous amener à réfléchir sur les vrais migrants qui fuient la guerre et ceux qui viennent pour des raisons beaucoup moins avouables.

BN-KD435_TURKMI_M_20150903113952_1024px Image of Drowned Syrian Boy Echoes Around World

His name was Aylan. He was 3 years old, from war-torn Syria. His final journey was supposed to end in sanctuary in Europe; instead it claimed his life and highlighted the plight of desperate people

http://www.wsj.com/articles/image-of-syrian-boy-washed-up-on-beach-hits-hard-1441282847

 

 

Source : http://hildegardvonhessenamrhein.over-blog.com/2015/09/aylan-et-son-frere-sont-morts-parce-que-son-pere-voulait-aller-chez-le-dentiste-le-monde-devenu-hysterique-immigrationniste-transfor

 

 

 

Le père de l’enfant noyé ne fuyait pas la guerre, il vivait en Turquie depuis 3 ans et voulait rejoindre l’Europe pour se faire refaire les dents !
Sa sœur vivant au Canada témoigne.

Sky News a parfaitement relayé l’information …

(Pour ceux qui ne sont pas Anglophone : la sœur de ce monsieur qui habite le Canada, explique comment il lui a demandé de l’argent pour se faire refaire les dents. Elle lui a envoyé de l’argent en trois fois !…)

 

Le Wall Street Journal confirme l’information :

Le Wall Street Journal confirme l’information

 

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L’image choquante est placardée partout : un enfant syrien inerte, noyé, devient le fer de lance de la bonne conscience immigrationniste contre les réticences des populations européennes face à la déferlante des migrants. Sommes-nous collectivement coupables de la mort de cet enfant ?

L’image choquante est placardée partout

Pour les partisans de l’accueil qui dominent dans les médias, la réponse est oui. L’impact émotionnel des images est utilisé pour faire taire la raison. « La photo qui fait taire le monde », tweete le quotidien italien La Repubblica, titre également repris par Le Matin. La ficelle est énorme, mais elle fonctionne. Les sentiments l’emportent sur la capacité d’analyse. Pour réduire au silence les personnes qui s’opposent à l’arrivée massive de populations étrangères, fut-ce pour des raisons tout à fait rationnelles, il n’y a plus qu’à les traiter de salauds sans cœur et l’affaire est dans le sac.

Selon les médias turcs, il s’agit d’Aylan Kurdi, un garçon syrien de trois ans dont le frère aîné a également trouvé la mort dans le naufrage de deux embarcations. Ils venaient vraisemblablement de Kobani, ville de Syrie adossée à la frontière turque, qui a été le théâtre de très violents combats entre djihadistes de l’État Islamique et miliciens kurdes, il y a quelques mois.

Ces bateaux, transportant des Syriens, étaient partis dans la nuit de mardi à mercredi de la ville côtière turque à destination de l’île grecque de Kos, l’un des plus courts passages maritimes entre la Turquie et l’Europe, lorsqu’ils ont chaviré, ont expliqué les garde-côtes turcs. Rapidement prévenus par les cris des naufragés, les sauveteurs ont repêché douze corps sans vie parmi lesquels celui de cet enfant dont les photos ont envahi les réseaux sociaux avec ce mot clef : «KiyiyaVuranInsanlik», qui signifie « l’humanité naufragée » en turc.

La famille de cet enfant est donc volontairement partie de Turquie, où elle était à l’abri, pour une destination qu’elle estimait plus confortable ; un voyage dans lequel elle n’hésita pas à risquer la vie de ses enfants. Ils auraient pu continuer à résider en Turquie et ils seraient alors encore tous vivants. Le drame n’a pas la même connotation que si le malheureux avait péri en tentant de fuir sa Syrie d’origine.

Quasiment le même jour un incendie criminel dans le 18e arrondissement de Paris fit huit victimes, asphyxiées et défenestrées, dont deux enfants. On ne verra évidemment pas les cadavres de ce fait divers en gros plan, cela ne correspond à aucun objectif politique. L’opération de communication est conçue pour tirer des larmes, et elle en tire. Les images poignantes déchirent le cœur de chacun d’entre nous. Mais il meurt des milliers et des milliers d’enfants en Afrique tous les mois sans aucune mobilisation massive du reste du monde. Quid des enfants massacrés par l’État Islamique, déchiquetés par les bombes des terroristes, assassinés au Pakistan parce que c’était des filles et qu’elles voulaient aller à l’école ?

Depuis le début de cette récente vague de migration vers l’Europe des peuples d’Afrique et du Moyen-Orient, bien des gens sont morts. Aylan Kurdi n’est de loin pas le premier bambin innocent à périr sur le chemin, mais il est le premier à être ainsi médiatisé. Les journalistes ont pourtant déjà eu à de multiples occasions la possibilité de filmer et de diffuser des images d’enfants morts mais s’en sont toujours abstenus. Alors pourquoi maintenant ?

Il existe toujours une étape dans un conflit où les enfants deviennent un enjeu de communication pour faire ployer l’opinion publique. Nous en arrivons à ce stade – un passage en force destiné à étouffer le débat. Il est à noter qu’ailleurs en Europe les directives sont différentes. La mort du petit Aylan Kurdi, trois ans, est un drame abominable. Mais que penser de ceux qui l’instrumentalisent ? Qui pourrait clamer que cet enfant ou sa famille auraient voulu que sa noyade serve à influer sur l’opinion publique ?

Face aux enjeux géopolitiques, la paix des morts ne pèse pas lourd. Les médias sont prêts à tout pour faire avancer leur idéologie, jusqu’à exploiter le corps sans vie d’une petite victime innocente pour l’infliger au grand public par tous les moyens possibles, diffusion en “prime-time” à la télévision et impression en première page de leurs quotidiens.

Ce voyeurisme macabre fait taire la raison, pour un temps, mais la raison ne saurait s’exclure de façon permanente du débat sur l’immigration. Il en va de l’avenir d’autres enfants, européens cette fois, et du monde dans lequel ils vivront. Gardons notre sang-froid face à ces images horribles que nous infligent nos médias car lorsque la raison reviendra, les médias pratiqueront la seule option qu’il leur reste – la surenchère.

Lu sur Les observateurs.ch

 

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Déclaration des “évêques” de France après la mort du petit Aylan

(Les guillemets et accentuations sont de nous)

 

Communiqué de la Conférence des “évêques” de France, le 4 septembre.

Conférence des “évêques” de France

Rome, 4 septembre 2015 (ZENIT.org)

« S’il vous plaît, que cela ne se répète pas ! »

 

C’est avec une très profonde tristesse que la Conférence des “évêques” de France a accueilli la nouvelle de la découverte de la dépouille d’Aylan, 3 ans, sur une plage turque.

Les images de cet enfant ont suscité une vive émotion compréhensible et partagée. Cette émotion est aussi celle provoquée par la mort du frère d’Aylan (5 ans) et de leur mère, eux aussi retrouvés sur la plage turque parmi les 11 personnes ayant péri dans ce naufrage.

Et cette émotion est aussi celle des milliers d’hommes, de femmes et d’enfants morts durant leur exode vers un monde meilleur que leur propre pays.

En juillet 2013, face au drame de Lampedusa, le “pape” François s’était déplacé « pour réveiller nos consciences pour que ce qui est arrivé ne se répète pas ».

« S’il vous plaît, que cela ne se répète pas ! » avait-il martelé, ajoutant : « La mondialisation de l’indifférence nous rend tous « innommés », des responsables sans nom et sans visage ».

Aujourd’hui, cela se répète…

Nous le savons, la situation est complexe puisque les États ont le droit et le devoir de réguler les flux migratoires dans leur pays. Cependant le “Pape” François le rappelait lui-même devant les parlementaires européens lors de sa visite à Strasbourg en novembre 2014, l’Union Européenne doit offrir « aide et accueil » aux migrants clandestins qui affluent à ses frontières. Des moyens supplémentaires, des actions nouvelles, dépassant les égoïsmes et les peurs doivent être déployés au plan européen.

C’est aussi à tous les niveaux de notre société que cette mobilisation doit se produire, au plan national, au plan local comme d’un point de vue individuel.

Ainsi, tout en soulignant l’action de nombreuses personnes qui s’engagent déjà pour sauver et aider les migrants, la Conférence des “évêques” de France tient aussi à appeler tous les catholiques et hommes de bonne volonté à apporter leur soutien et à ouvrir leur cœur vers leurs frères afin que leur errance vers une meilleure vie ne les amène plus à la mort.

L’image du petit Aylan nous fait prendre un peu plus conscience de la réalité des drames vécus par les migrants. Dieu nous parle à travers ces événements et éveille notre conscience. Dans la prière, il nous faut en déchiffrer la signification. En de nombreuses églises, dimanche 6 septembre, les catholiques prieront.

Enfin, l’image d’Aylan nous renvoie à notre propre société et pointe ses égoïsmes, ses dysfonctionnements et ses fragilités. Elle doit nous appeler à un sursaut individuel et collectif. C’est l’accueil de la personne vulnérable, des plus pauvres, des migrants qui sauvera notre société.

« Nous ne sommes plus attentifs au monde dans lequel nous vivons… Nous ne prenons pas soin de ce que Dieu a créé pour tous et nous ne sommes plus capables non plus de prendre soin les uns des autres. Et quand cette désorientation prend les dimensions du monde, on en arrive à des tragédies comme celle à laquelle nous avons assisté. » “Pape” François, Lampedusa, juillet 2013.

“Mgr” Renauld de Dinechin
“Évêque” auxiliaire de Paris
Responsable de la pastorale des migrants au sein de la Conférence des “évêques” de France

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Source : http://www.zenit.org/fr/articles/declaration-des-eveques-de-france-apres-la-mort-du-petit-aylan

ZENIT - 404 Error

 

 

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Manipulation

 

L’enfant est retrouvé échoué sur la rive :

L'enfant est retrouvé échoué sur la rive

 

Observez bien les photos suivantes !

 

L'enfant est déplacé...

 

La mise en scène :

 

L'enfant est replacé...

 

Photo Aylan Kurdi : grosse manip ?

 

Photo Aylan Kurdi : grosse manip ?